La jeune captive
Ô mort ! tu peux attendre ; éloigne, éloigne-toi ;
Va consoler les coeurs que la honte, l'effroi,
Le pâle désespoir dévore.
Pour moi Palès encore a des asiles verts,
Les Amours des baisers, les Muses des concerts.
Je ne veux point mourir encore.
André CHENIER (1762-1794)
La jeune Captive (poème complet)
,
André Chénier
,
retour à la page d'accueil